Catégories : Cuckold candaulistes cocu Homme soumis, Femdom Domination féminine Enema Lavement / Médical
il y a 8 ans
J'ai rencontré celle qui allait devenir ma femme sur les banc de l'école. A partir de cet instant on a tout partagé et on a institutionnalisé cette histoire par un mariage il y a trois ans. Depuis on peut dire qu'on est un couple heureux qui petit à petit sombre dans le confort matériel que nous refusions du temps de notre jeunesse. Non pas qu'a trente ans on soit vieux, mais nous avions des idéaux différents quand on étaient fauchés que maintenant ou on gagne bien notre vie. Mais je ne savais pas que se jour là toute ma vie allait changer ....
« Demain j'ai rendez vous chez le gynéco, tu m'accompagnes ?
_ Désolé, Liz, mais j'ai des réunion toute la journée demain.
_ Fais chier, tu sais que j'aime pas y aller toute seule
_ Oui je sais, mais je ne savais pas que ton rendez vous était demain, et c'est des réunions assez importantes, alors ... le travail avant tout, non ?
_ Oui, oui tu as raison, mais bon tu pourrais faire une effort.
Ma douce est contrariée, elle a toujours une certaine appréhension avant d'aller chez son gynéco. Il faut dire que l'examen nue, les pieds dans les étriers n'est pas des plus agréable. Cela dit j'ai jamais compris pourquoi son docteur la fait déshabiller entièrement. Demain je ne pourrais pas y être et je m'en veux. Parce que je ne serai pas là pour elle quand elle en a besoin, mais aussi parce que son examen m'excite au plus haut point. J'ai toujours été attiré par les jeux médicaux, sans que j'ai jamais eu le courage d'en parler à Liz. Sans doute par peur de passer pour un pervers. Ma belle est plutôt conservatrice niveau sexe. En tous les cas j'essaie de ne jamais rater une séance de gynéco, que je conclut d'une bonne branlette dans les toilettes du cabinet.
Le soir ma chérie est différente. Pas de changement radical, juste des petits détails invisibles pour qui ne la connait pas bien mais qui ne m'échappe pas. Je mets tout ça sur l'épreuve de son rendez vous médical. Finalement au repas, je rassemble tout mon courage et je lui pose la question fatidique;
« Ca c'est bien passé cet après midi ?
Je m'attends à tout sauf à ce qu'elle va me répondre. Je me suis pourtant préparé à toute les éventualités, avec des arguments à l'appuie. Mais sa réponse va me laisser sans voix
« Super bien mon coeur. D'ailleurs il veut nous voir ensemble la semaine prochaine.
_ Il veut « nous » voir ?
_ Oui « nous », je crois qu'il s'est habitué à ta présence et que tu lui manques
_ Ca va j'ai compris. Sinon tu vas bien ?
_ D'abord c'est pas une plaisanterie, il vaux vraiment nous voir la semaine prochaine, et oui ma petite chatte est en parfaite santé. Pour la peine c'est toi qui va faire la vaisselle, la lessive et le ménage jusqu'au rendez vous. En plus tu me feras de bon petits plats et au moins une demi heure de massage des pieds tous les soirs. Compris
_ Oui chérie, dis je un peu abasourdi par la rafale qui vient de me tomber dessus.
Je ne l'avais jamais vue comme ça, sure d'elle et autoritaire. On peux dire que normalement c'est plus moi qui suis dominant dans notre couple. Mais j'accepte ma pénitence sans broncher. Donc après manger je m'acquitte de toutes mes nouvelles charges ménagères puis je rejoins Liz dans notre chambre. Elle est entrain de lire les jambes sous les couvertures. Sans lever les yeux de son livre elle se dégage les pieds.
« Trente minutes et pas une de moins, j'en ai vraiment besoin.
Je me mets à genoux devant le lit et, après m'être huilé les mains, je lui masse consciencieusement chaque pieds. J'ai du mal à savoir si elle apprécie ou pas mes efforts tant elle reste imperturbable. Je m'applique deux fois plus sur mon ouvrage, je veux la voir au moins sourire. Pour lui faire plaisir, je rajoute un quart d'heure de plus à mon massage ... mais elle reste impassible. Résigné j'abandonne et quand je prends appuie pour me relever elle écarte grand les cuisses relevant par la même sa fine nuisette me dévoilant son sexe fourni.
« Bouffe moi la chatte, et n'espère pas plus ce soir.
Je ne réfléchis même pas à sa phrase et je me jette entre ses douces cuisses. Je glisse ma langue entre ses grandes lèvres pulpeuses. Elle est trempée et son odeur est puissante. Je m'amuse à voyager de son clitoris encore dissimuler sous son capuchon à l'ouverture serrée de son vagin. Je ferme les yeux pour ressentir tous les fins détails de l'anatomie de Liz. Puis je remonte vers son bourgeon que ma langue débusque dans son abris. Le petit organe érectile palpite sous ma langue. Je lui fais subir tout mon arsenal de tourment.
Liz serre et desserre les cuisses dans un geste semi inconscient. Sa respiration s'accélère et un léger gémissement coule de ses lèvres dans mes oreilles. C'est le meilleurs des euphorisant. Je redouble d'effort pour faire partir Liz. Elle plaque ma tête des ses deux mains sur sa fleur. Ses gémissements se font continu et crescendo puis un tremblement parcours tout son corps des pieds à la tête. Elle serre ses cuisses au maximum que ma tête le permet. Elle vient de jouir. Et j'ai aimé ne pas la toucher plus qu'avec ma langue.
« Tu peux te branler devant moi si tu veux, cela dit je te le conseil parce qu'après c'est ceinture jusqu'à mardi prochain.
Je ne sais pas bien comment réagir à son propos. Plaisante elle ou est elle sérieuse. Je suis rappelé à l'ordre par ma verge tendue au maximum. Je suis toujours à genoux entre les jambes de ma femme et j'ai une vue dégagée sur son sexe encore luisant du mélange de ma salive et de son jus intime dont l'odeur puissante embaume la pièce. Ma main va toute seule dans mon caleçon pour sortir mon sexe. Liz glousse quand je me retrouve nu devant elle.
Elle me fixe avec un regard ironique qui me met à la fois mal à l'aise et la tête en feu. Sans trop réfléchir je prend ma queue à pleine main et je branle lentement. J'ai envie de faire durer. Sauf que mon corps en décide autrement et en moins d'une minute j'éjacule sur les draps. Je suis encore dans le bain d'endorphine de mon orgasme quand je sens une main me tirer vers l'avant. Je perd l'équilibre et je me retrouve nez à nez avec ma semence qui souille les draps. La main de Liz me tient fermement le poignet.
« Tu es un gros dégueulasse, soit tu lèches, soit tu changes les draps.
_ Je ... je change les draps chérie ... pardon.
_ Dépêche toi je gèle.
Je cours presque pour refaire le lit et en moins de dix minute je livre un nid bien douillet à ma chère et tendre. Liz prend place et après m'avoir posé un chaste baiser sur le front, se retourne et s'endort dans la minute me laissant seule avec mes questions sur ce qui venait de se passer. J'ai eu les pires difficultés à trouver le sommeil.
Le lendemain c'est déroulé selon les souhaits de ma chérie, je me suis occupé de tout à la maison et le soir après le massage des pieds je me suis occupé de son petit minou. Seule différence par rapport à la veille; je n'ai pas eu droit de me soulager. J'aurais très bien pu le faire une fois qu'elle a sombré dans les bras de Morphée, mais je me suis retenu je dois faire pénitence comme elle le désir. Toute la semaine c'est passée de la même façon, et je crois que j'ai vraiment apprécier de me concentrer uniquement sur son plaisir. En tous cas j'espère qu'elle a aimé.
Arrive enfin le jour de la visite chez le gynéco. Liz passe de longues minutes dans la salle de bain avant d'en ressortir pimpante et assez excité, comme si ses ablutions avaient fait disparaître sa peur du spéculum. Je suis content de la voir comme ça. On monte en voiture et je prends la direction de la grande maison du praticien. La route est assez courtes et on arrive vite en vue de la grande bâtisse ceinte de haut mur seulement percé d'un lourd portail noir. Je m'arrête près de la plaque en cuivre disant Dr Rool, Gynécologue, reçoit sur rendez vous.
Je presse la sonnette et avant que j'ai le temps de parler un grésillement dans le haut parleur précède le lent mouvement de la grille qui s'ouvre. Je remonte lentement l'allée en gravier borée de platane et je me gare devant les escaliers qui mènent au perron. Bizarre il n'y a pas d'autre voitures dans la cour. Liz me précède et le temps que je ferme la voiture elle est déjà en haut des escalier le doigt sur la sonnette. J'arrive a mon tour devant la porte quand cette dernière s'ouvre sur une femme sublime d'une quarantaine d'année. J'en reste bouche bée, je dois avoir l'air un peu idiot. Liz me tire par la main pour me faire rentrer. La belle infirmière nous indique la salle d'attente nous signalant que le docteur Rool arrive.
« Elle est belle Annette hein, elle fait pas ses quarante huit ans
_ Je ... sais pas
_ Arrête tu es pathétique, il aurait fallut être aveugle pour ne pas t'avoir vu baver sur ses gros seins.
_ Le docteur Rool va vous recevoir, si vous voulez bien me suivre
La belle brune nous conduit dans le large couloir au murs encombré de vieux tableaux poussiéreux. Je lève les yeux au plafond, je n'avais jamais remarqué l'énorme lustre en cristal. L'infirmière entre suivie de Liz, je ferme la marche.
« Bonjour ma chère, c'est un tel plaisir de vous revoir.
_ Je peux disposer docteur ?
_ Non Annette veuillez rester je vais avoir besoin de vos bons offices. Prenez place je vous en prie.
En disant sa phrase il nous indique les deux fauteuils rococo devant son bureau du même style. Je m'assois et je regarde autour de moi. C'est la première fois qu'on va au cabinet privé de docteur Rool, d'habitude Liz le consulte à la clinique. La pièce est immense et aussi lourdement décorée que le couloir. D'un côté il y a le bureau et de l'autre la partie examen ou brille tout un assortiment d'ustensile en inox. Le docteur prend place derrière son bureau et il ouvre le dossier qui l'y attendait.
« Alors Liz comment c'est passé la semaine ?
_ Très bien docteur, je dois dire que ça c'est même passé mieux que je ne l'imaginais
_ Parfait, je suis heureux de l'entendre. On va passer sans plus attendre à l'examen, si vous n'y voyez pas d'inconvénients.
Je vois Liz serrer les accoudoirs de son fauteuil et déglutir difficilement. Mais elle se lève finalement accompagnée par Annette dans le coin opposé de la pièce. La belle infirmière aide ma femme à se déshabiller. Je croyais Liz pudique. Annette lui retire son soutient gorge et lui masse énergiquement les seins. Je ne peux que regarder méduser ma femme se faire peloter par cette inconnue. Puis Liz se penche en avant pour retirer son string et la je découvre ce qui lui a pris autant de temps à la salle de bain : elle c'est entièrement épilée. Annette s'accroupit devant ma femme et examine le travail, sans qu'aucune des deux ne soit gênée. Mais qu'est ce qui lui arrive. Annette fait signe au docteur.
« Bravo Liz, vous verrez vous serrez bien mieux ainsi. Venez je vais vous examiner.
Liz monte tout en souplesse sur la chaise d'examen. Annette aide Liz à mettre les pieds dans les étriers, elle est complètement exhibée devant leurs yeux. L'absence de poils donne à sa vulve encore plus l'aspect d'une orchidée. De ma place j'ai une vue imprenable sur l'entrejambe de ma belle et le moindre geste du gynéco. J'ai déjà un semblant d'érection. Je regarde Liz qui semble assez détendue.
« Vous êtes prête ?
_ Oui docteur vous pouvez y aller.
J'assiste à l'examen sans en perdre une miette jusqu'à ce que les événements prennent une tournure inattendue.
« Je vais faire le test de réaction clitoridien
_ Allez y docteur
Le docteur enlève son gant en latex et enfonce deux doigts dans le fourreau de Liz. Ma chérie ferme les yeux et soupir de bien être. Je vois les doigts épais du praticien qui entre et sorte du ventre de ma femme sans aucune pudeur. J'en reviens pas, il est entrain de doigter ma femme sous mes yeux sans que je ne trouve quoique se soit à dire. Pire encore, ça me met à fleur de peau. Liz est dans un état second, qui vire à la pâmoison quand le pouce du docteur se pose sur le clitoris de ma belle et le masse délicatement.
« Je vois que vous réagissez très bien madame Rossi
_ Hum ... oui docteur, votre traitement fait ... merveille
_ Je vois, vous savez que c'est un traitement que vous pouvez réaliser à la maison, ou que je peux vous prodiguer en soin à domicile
_ .... Ah ... oui ... à domicile ...
_ Est ce que vous voulez tester votre résistance clitoridienne en plus
_ ... oh docteur ... faites tout ce que vous voulez mais faites moi jouir ...
J'assiste silencieux à cette scène surréaliste. Je devrais intervenir et faire cesser cette parodie d'examen. Je ne suis pas un expert en la matière, mais je suis sur qu'un gynéco digne de ce nom ne branle pas ses patientes lors d'un quelconque examen. Mais au lieu de réagir je regarde le médecin enfoncer profondément ses deux doigts dans la figue juteuse de Liz et son pouce expert agacer son petit bourgeon. Mais surtout je regarde ma femme prendre du plaisir comme je n'avais jamais vu et pu lui donner.
Elle est sublime, le corps vibrant sous les caresses du praticien. Ca m'excite de la voir sous les mains d'un autre, si j'osai je me masturberais. Sans ralentir le rythme le docteur me regarde de temps en temps, essayant sans doute de déceler mon état d'esprit. Ce qu'il voit doit le rassurer parce qu'il donne le coup de grâce à Liz. Tous les muscles de son corps se contractent et sa respiration accélère se transformant en halètement. Elle essais de serrer les cuisses mais les étriers l'en empêche.
Soudain, les halètement se transforment en gémissement puis, après un dernier spasme, son corps se relâche complètement. De ma place j'ai clairement vu son petit anneau se contracter puissamment à plusieurs reprise, signe d'un vrai orgasme. Je ne l'avais jamais vu jouir aussi fort ... Le docteur retire ses doigts du ventre de mon épouse. Ils sont luisants des sucs de ma belle.
Sans même prêté attention à ma présence, le docteur les tends à ma femme qui les lèche goulûment. La perversité de la scène est incroyable, et pourtant je peux, et sûrement ne veux qu'en être spectateur. Je remarque à peine que Liz est revenue s'assoir à côté de moi complètement nue. Son sexe embaume toute la pièce.
« Vous allez très bien madame Rossi, et vous avez une excellente résistance clitoridienne.
_ Merci docteur
_ Mais je crois que vous avez un autre problème, qui est en réalité l'objet de votre visite aujourd'hui.
_ Oui, en effet ... c'est un peu délicat. Je ne sais pas trop comment aborder la question.
_ Vous savez vous pouvez tout me dire, je suis médecin. Mais voulez vous passez dans le salon, l'ambiance sera peut être plus propice.
Annette ouvre une double porte donnant sur un grand salon. Ambiance feutrée, épais tapis et mobilier ample. La belle infirmière nous installe, moi sur un petit sofa et Liz sur une grande méridienne. Nous sommes face à face et je peu voir son sexe encore rougi par l'effort puisqu'elle ne croise pas les jambes. Ma femme est devenue étrangement impudique quand elle à passée le seuil de la porte de ce médecin. Les pas du docteur font vibrer le parquet et la double porte se referme. L'intensité lumineuse chute d'un coup, on se retrouve dans une ambiance tamisée. Le docteur prend place à côté de Liz et lui pose une main sur la cuisse. Un frisson imperceptible parcours ma belle.
« Bon, Liz dites moi ce qui vous amène. J'espère que l'ambiance moins solennelle va vous aider.
_ Oui merci docteur, je crois que là ça va.
_ Allez y on vous écoute.
_ Voilà docteur, depuis ma dernière visite j'ai bien réfléchi à votre analyse de ma situation et je crois que je vais accepter votre traitement.
_ Très bien, mais je crois que votre mari va vouloir savoir de quoi il en retourne et pourquoi vous voulez de ce traitement
_ Oui chérie je suis curieux, dis moi
_ Si tu veux tout savoir Alain, tu n'es qu'une lopette et j'ai besoin d'un vrai mâle pour me faire jouir.
_ Du calme Liz, il ne faut pas être aussi directe, bien qu'effectivement vous êtes une lopette qui s'ignore monsieur.
_ Je ... je ne vois pas comment vous pouvez vous permettre ...
_ Simplement parce que je viens de branler votre femme sous vos yeux et qu'un vrai mâle m'aurait mis son poing sur la figure, et qui si je ne me trompe pas ça vous a excité de me regarder la posséder.
_ ....
_ Ne dites rien, votre silence vaut toutes les approbations. Regarder je vais re-doigter votre femme et vous n'aller rien dire, encore comme le font les vrais lopette.
_ Hum ... oui c'est si bon de vous sentir dans mon ventre.
_ Alain, je crois que c'est le moment de faire votre profession de foi
_ C'est à dire ?
_ Et bien racontez nous quand vous vous êtes rendu compte que vous étiez une lopette, parce qu'au fond de vous, vous le saviez n'est ce pas ?
_ Non ... non ... enfin si un peu ... mais je ne sais pas depuis quand c'est comme ça, peut être depuis toujours.
_ Dites moi, vous êtes fier que d'autres homme regarde vote femme
_ Bien sur, c'est elle la plus belle
_ Je peux vous posez une question, est ce que vous l'aimez profondément
_ Oui bien sur.
_ Alors jusqu'ou iriez vous par amour pour elle ? Seriez vous prêt à la servir comme une princesse, de la chérir et de respecter ses ordres et ses envies.
_ Oh oui
_ Bien. Parlez moi de votre vie sexuelle maintenant.
_ Il n'y a pas grand chose à dire, Liz n'est pas très portée sur la chose ...
_ Je vous arrête tout de suite, Liz s'est donnée à un inconnu et je suis encore bien planté en elle, vous croyez que c'est le signe d'une femme qui n'aime pas le sexe.
_ Non, vous avez raison. Je ... Je ... c'est dur à avouer.
_ Surtout quand on se cache la vérité depuis si longtemps. Allez y, vous serrez vous vous sentirez mieux après
_ Voilà, je ... je ne suis pas capable de la faire jouir.
_ Vous voulez dire que vous ne faites jamais jouir ?
_ Si avec ma langue, mais je ne peux pas la faire jouir en la pénétrant
_ Par contre vous, vous jouissez en elle
_ Oui
_ Vous vous rendez compte du privilège que vous fait votre femme de vous laisse la souiller alors que vous ne pouvez pas assumer votre rôle de mâle
_ Oui ... je suis vraiment en dessous de tout. Pardon ma chérie ... je ne te mérite pas
_ N'exagérons rien, vous êtes incapable de la faire jouir, mais vous êtes un mari attentionné et aimant. Décrivez moi un de vos rapports sexuels type. Passez sur les préliminaires.
_ Ben c'est que c'est un peu personnel ... je ... Liz se met sur le dos ou en levrette, elle me guide vers son vagin et je la pénètre et puis je ....
_ Vous la limez
_ Euh, oui
_ Combien de temps environ
_ Environ deux ou trois minutes
_ Et vous éjaculez
_ C'est ça
_ Et comment votre épouse atteint l'orgasme.
_ Elle ... elle se masturbe ... devant moi
_ Pathétique. Vous vous rendez compte que vous êtes une lopette à la lumière de vos explications.
_ Oui docteur. Je suis une lopette, j'ai une petite bite et je suis éjaculateur précoce. Je suis si nul que ma femme doit se donner du plaisir toute seule.
_ Magnifique profession de foi mon chère Alain. Je suis sur que Liz a apprécié
_ Oh oui docteur, merci de nous avoir ouvert les yeux.
_ C'est mon devoir ma chère. Ma présence dans votre ventre ne vous gêne pas ?
_ Oh non docteur c'est plutôt délicieux, et puis comme ça ma lopette vois comment un vrai mâle s'occupe d'une femme.
_ S'il vous plait docteur faites du bien à ma femme.
_ Je vais m'y employer si vous m'en faites la demande, mais avant je veux voir votre ridicule petite bite. Annette va vous aidée à vous mettre nu.
Je ne peux pas m'empêcher d'obéir alors que j'aurais du partir en courant. Mais la situation est tellement .... pervers et ... juste. Parce que tout ce que je viens de dire au docteur est vrai, mais je croyait que Liz aimait bien se branlée. Je suis vraiment qu'une lopette. Annette vient derrière moi et pose sa main sur mon épaule. Je me lève et je déboutonne ma chemise.
Annette la prend et la met sur un cintre. Puis je quitte mon pantalon, j'ai honte en découvrant que je bande. Liz et Annette sourient en voyant la misérable bosse qui déforme à peine mon slip. Mon pantalon rejoint ma chemise. Je reste un peu tétanisé devant mes spectateurs. Je suis tiré de ma rêverie par une v i o l ente gifle assénée par Annette. Je passe ma main sur l'impact sur ma joue pour soulager un peu la brûlure. Le regard noir de l'infirmière me renvoi à mon objectif initiale et je me penche en avant pour enlever mon slip. Me voilà complètement nu et en érection. Liz et Annette éclate de rire devant mon modeste vermisseaux. Je me sens humilié, mais heureux d'être humilié.
« Donnez nous vos mensurations mon chère Alain
_ Je fais 13cm en érection et 4 de largeur
_ Vous êtes en effet ce qu'on appel une petite bite, regardez, je vais vous montrez ce que c'est un vrai mâle.
Le docteur se lève et se déshabille à son tour. Annette, toujours aussi diligente, range les vêtements qu'on lui tend. Devant moi se tient un homme de quarante cinq ans, au corps parfaitement entretenu. Mes yeux tombent nez à nez avec la grosse verge noueuse qui grossie à vue d’œil. En un rien de temps j'ai un monstre devant moi. Le docteur se rapproche de moi et viens se mettre a quelques centimètres, nos verges se touchant presque.
« Voilà une vraie bite de mâle.
_ Elle est magnifique.
_ Tu veux la toucher.
Sans lui répondre je pose la main sur son puissant membre. Ce contact m'électrise. Je n'avais jamais touché le sexe d'un autre homme. Je tire sur le prépuce pour dégager complètement son gros gland v i o l acé. Je ne peux pas détourner le regard de cette virilité qui remplie complètement ma main.
« Tu veux la goûter salope ?
_ Je peux docteur ?
_ Bien sur que tu peux salope, les lopettes finissent toujours par sucer les amants de leur femme
Je jette un coup d’œil à Liz qui me regarde narquoise les cuisses grandes ouverte. Je soutiens son regard, puis je baisse les yeux et je m'agenouille devant le médecin. Je tire fort sur le puissant membre et sans réfléchir je le mets en bouche. Je n'ai jamais sucé un autre homme, mais je sais suffisamment ce qui me fait du bien pour le reproduire sur la verge tendue dans ma bouche.
« Tu as une magnifique lopette Liz, si tu sais comment l'utiliser tu vas en tirer un plaisir fou.
_ Je vois ça, je ne le savais pas pédé mais il a l'air d'aimer ça
_ Toutes les lopettes adorent ça, c'est un privilège pour elle de sucer l'amant de leur femme, et puis c'est vrai qu'il est très doué
_ Vous viendriez pas me saillir au lieu de vous occuper d'Alain, j'ai envie moi
_ A quatre pattes femelle, vient salope tu vas me mettre la queue dans le chaton baveux de ta femme.
A regret de lâche ma grosse sucette de chair. Liz c'est mise en position, la tête sur un coussin et les fesses en l'air le dos bien cambré. Le docteur se met derrière mon épouse et pose son gros mandrin sur les globes fessier de Liz. Je prends cette belle colonne et je lui fait faire plusieurs aller retour glisser dans la raie de ma femme. Le gros gland écarte les globes laiteux sur son passage et déverse son lubrifiant naturel sur l'anus de Liz. Le docteur se retrouve enfin devant l'entrée du ventre de ma femme. Il s'enfonce lentement en elle. Je peux voir chaque centimètre de sa virilité posséder mon épouse. Je me mets à bander comme une bête. Liz se tourne vers moi le regard plein de luxure.
« Branle toi lopette pendant qu'un vrai mâle me baise.
L'ordre de Liz à claqué comme un coup de fouet. Sans hésiter je me suis pris en main pour une lente caresse que j'espère libératrice. Bien sur il ne me faut pas plus de trois minutes pour éjaculer de lourd paquet de sperme crémeux sur le tissus brocardé de la méridienne. Je démontre à tous que je suis bien un minable éjaculateur précoce.
Le docteur à retourné Liz sur le dos et il l'a pilonne de tout son poids. Je ne peux pas m'empêcher de les regarder et de me dire qu'ils sont beaux. Le corps souple du médecin décris d'ample arc faisant sortir et rerentrer son énorme verge de la douce gaine humide de ma femme. Liz gémie de plaisirs sous les coup de boutoir de son amant. Elle prend son pied. Le rythme augmente et la profondeur de la pénétration avec.
« Oh Michel c'est trop bon ta grosse bite dans ma petite chatte
_ T'es étroite comme une pucelle, mais chaude comme la dernière des putes
_ Vas y bien à fond, que c'est bon
_ Plus à fond je baise ton utérus salope
_ Ah ... je vais jouir
_ Laisse toi aller, moi .... aussi .... je vais jouir .... aahhgg
_ Hum c'est bon de te sentir te vider en moi, tu m'as bien fais le plein.
Le médecin se retire de ma femme laissant sa vulve béante déverser son sperme. Je regarde le couple illégitime s'embrasser et se câliner. La brosse verge reprend une taille plus raisonnable. Je rebande, mais je sais que je n'aurais pas le droit de jouir à nouveau.
_ Viens lopette, viens boire le jus de mon amant
_ Tu vas voir c'est un délice ... pour les petites salope comme toi
Je me mets à quatre pattes entre les cuisses de Liz et, bien qu'un peu dégouté, je plonge ma tête vers la petit filet de liqueur blanchâtre. Je prend mon courage à deux main et j'aspire tout ce que je peux. Le goût est salé et la texture visqueuse, mais je prend sur moi pour que ma femme soit fière de sa lopette. Les deux amants se moquent de moi et ça m'excite.
Vingt minutes plus tard nous sommes tous rhabillés et on est repassé dans le cabinet du médecin. Liz est radieuse et odorante. Je suis humilié et heureux.
« Bien vous avez passé la première étape avec succès. Toi Liz tu es une dominatrice en devenir et toi Alain une bonne petite lopette. Mais rien n'est encore gagné, un long chemin vous attend et je suis prêt à vous accompagner.
_ Merci docteur. Je vais bien dresser ma petite lopette
_ Je n'en doute ma chère Liz, et je vous saillirai quand bon vous semblera. Mais vous devez définir un nouveau projet de vie entre vous, et pour ça il n'y a que vous qui le pouvez.
La consultation c'est arrêtée là. J'ai payé et nous sommes rentrés à la maison. A compter de ce jour Liz ne m'a plus jamais touché, je dois la lécher quand elle le demande et me branler si elle m'en donne l'autorisation. Je m'occupe de tout à la maison pour que ma princesse soit heureuse. Je suis sa lopette.
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